1- Comment fonctionne le vaccin ? L'idée derrière ce vaccin, selon un rapport d'un journal français, est basée sur l'injection de matériel génétique appelé « ARN messager » ou « ARN messager », qui est une molécule qui dit à nos cellules quoi faire. "Nouvel Observateur".
L'ARN messager qui dirige ce mécanisme est amené à produire un antigène spécifique du coronavirus : le "spike" du coronavirus, qui est un point très net à la surface qui lui permet d'adhérer aux cellules humaines pour y pénétrer.
Le système immunitaire, qui produit des anticorps, détecte ce saut et ces anticorps durent un certain temps.
2- Quels sont les détails de l'expérience ? En juillet, Pfizer et Biontek ont commencé un essai clinique d'un vaccin contre le coronavirus dans lequel la moitié des participants ont reçu le vaccin et l'autre moitié a reçu un placebo salin, puis les deux sociétés ont attendu que les gens tombent malades pour voir si le vaccin fonctionnait. . .
défenses, selon un rapport du New York Times de Carl Zimmer et Katie Thomas. Jusqu'à présent, 9
participants sur près de
000 personnes ont été infectés par le COVID-19, ont indiqué les auteurs. Un panel d'experts indépendants a examiné combien de personnes avaient reçu le vaccin et qui avaient reçu un placebo.
Cette première analyse montre que le vaccin est efficace à plus de 90 %.
3- Est-ce un bon résultat ? La réponse est oui, le résultat est très bon et si les résultats sont corrects et que le vaccin fonctionne comme ça une fois vacciné, il protégera des millions de personnes.
- Quand le vaccin sera-t-il disponible ? Les deux fabricants de vaccins souhaitent recevoir l'approbation officielle de la Food and Drug Administration américaine au cours de la troisième semaine de novembre. Pfizer a déclaré sur son site officiel qu'il collectera des données de sécurité pendant deux mois après la dernière dose pour obtenir l'approbation d'une utilisation d'urgence.
La société a annoncé : "Après avoir collecté des données de sécurité pendant en moyenne deux mois après la deuxième et dernière dose du vaccin, le vaccin sera disponible dans la troisième semaine de novembre à la demande de la Food and Drug Administration."
Afin d'obtenir une licence pour distribuer un vaccin, des critères particuliers sont requis, dont les plus importants sont l'efficacité, la sécurité et la capacité de production régulière. S'il est approuvé par les autorités américaines, le vaccin pourrait être disponible fin 2020 ou début 2021.
5- Quelles sont les quantités de production ? "Les vaccins à ARN se distinguent par leur facilité de production et leur très grande quantité", a déclaré Daniel Fleurier, vice-président de la commission technique des vaccins de la plus haute autorité de santé française.
Les deux sociétés de production devraient distribuer environ 50 millions de doses du vaccin dans le monde d'ici la fin de 2020. Pfizer s'efforce actuellement de produire suffisamment de doses pour environ 25 millions de personnes, sachant qu'une personne aura besoin de deux doses. Pour l'année prochaine, la société américaine affirme pouvoir produire environ 1,3 milliard de doses.
6- Qui recevra le nouveau vaccin en premier ? Pfizer affirme pouvoir disposer de 30 à
0 millions de doses de vaccin d'ici la fin de l'année, suffisamment pour fournir à 15 à 20 millions de personnes une dose initiale et un coup de pouce après 3 semaines.
Il n'a pas été déterminé exactement qui sera éligible pour les doses initiales, mais il est probable que la priorité sera donnée aux groupes présentant le risque d'infection le plus élevé ou à ceux présentant le risque le plus élevé de contracter le virus. Cela peut inclure les travailleurs de la santé, les personnes âgées et les personnes présentant des facteurs de risque tels que l'obésité ou le diabète.
7- Pouvons-nous arrêter de porter des masques maintenant ? La réponse est non, les directives de prévention doivent continuer, et la plupart des experts disent que même si un vaccin est largement disponible, des mesures supplémentaires, telles que des masques, seront nécessaires jusqu'à ce que la menace pour la santé publique du coronavirus dans la communauté disparaisse.
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