La France vit les conséquences d'une nouvelle loi récemment adoptée pour mieux protéger les forces de sécurité après les récents événements que la France a connus cette année et l'année dernière, notamment les manifestations des gilets jaunes. La loi soulève un certain nombre de questions administratives et législatives qui font émerger le débat sur la liberté d'expression, la liberté de manifestation et la relation des citoyens avec les forces de sécurité et les services de police.
Le gouvernement de M. Castax estime que la loi vise à protéger les forces de l'ordre contre la violence des manifestants, qui a fait de nombreuses victimes parmi les policiers. Selon le gouvernement, cela nécessite de modifier les relations des parties par une révision des textes juridiques pertinents. Quant aux opposants à cette loi, ils y voient une violation de la liberté d'expression et de la liberté de manifestation, l'une des réalisations les plus importantes de la république, pour laquelle les Français se sont battus.
Cependant, le plus controversé est l'article 2
de la loi, qui interdit de prendre des photos des policiers dans l'exercice de leurs fonctions afin que leur identification et leur identification soient possibles. Les journalistes, qui ont récemment manifesté massivement, voient dans cet article un rejet de la fin de leur liberté et des restrictions à la couverture des événements, y compris l'ingérence du personnel de sécurité. Quant au ministre de l'intérieur Darmanan, il a fermement défendu la loi, qu'il voit d'une part comme une opportunité d'accroître le pouvoir de l'Etat et d'autre part comme un moyen de protection des agents de sécurité. main
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